Premières expériences et engrenages : Chapitre 97 : La bonne est en bonnes mains

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Ce récit est la suite de : Premières expériences et engrenages : Chapitre 96 : Premier lavement
il y a 1 an

Chapitre 97 : La bonne est en bonnes mains

Dès que je donnai mon accord pour le démarrage, les hommes se jetèrent sur elle, avec plus de ferveurs, plus de violences et de fureur que ceux-là même, hier, derrière les fenêtres ou dans la boîte de nuit. Aucune caresse sensuelle, aucun préliminaire, aucune excitation graduelle ! Trois d’entre eux se précipitèrent avec leur membre échauffé vers les trois réceptacles féminins, comblant sans ménagement les embrasures de la bonne.

José avait pris la meilleure place, enfonçant son membre géant dans le con à peine humide de Lisa, l’empalant plus que la pénétrant, la traumatisant plus que la rassasiant. Elle aurait crié si Sébastien ne lui avait pas mis la main sur la bouche, cherchant à allonger ce couple pour remplacer sa main par de la chair autrement plus volumique. Il attendit qu’Ahmed, choisissant la porte de derrière, à son tour la pénétrasse, dans le peu d’espace du bassin que José lui avait laissé. Les trois valets aidèrent le trio entremêlé à s’allonger sans se séparer. Stéphane attentif à la réalisation de cette chorégraphie enfourna son membre alors que le corps d’Ahmed cherchait encore sa place sur le sol. Un seul cri s’échappa de la bouche de Lisa tandis que la main laissa un instant sa place au sexe.

  • Tu vas me le payer Lassie !

Il m’était adressé. Il me fit froid dans le dos. Avais-je exagéré en proposant cette allégorie orgiaque. Il est vrai que je ne m’attendais pas que les valets se comportent ainsi mais plus comme les maîtresses d’hier, à lui donner tant de plaisirs divers et simultanés qu’elle en deviendrait folle. Stéphane lui enfouit sa verge si profondément qu’elle semblait s’étouffer. Elle souffrait. Ces hommes ne cherchaient aucunement à lui donner du plaisir, comme je l’avais cru.

Même Ahmed, câlin avec moi, comblant le cul de Lisa, coincé au sol sous le poids des autres valets, lui comprimait les seins avec tant de virulence, tant de pression, que je les voyais changer de couleur. Dario, dont la surface commençait à manquer sur ce corps de taille moins généreuse que celles de ses prédateurs, s’attaqua à son clitoris. Il ne le massait, ni ne l’excitait. Il le frottait avec l’énergie qu’on mettrait à enlever une tache d’encre incrustée. Wallace, le dernier des cinq avait attrapé l’une des mains de Lisa et l’obligeait à le branler en pointant son sexe vers les yeux de la bonne.

Stéphane, comprenant les intentions de son compagnon, maintenait avec une seule de ses grandes mains les paupières de la victime ouverte, la menaçant de voir le sperme du britannique se déverser directement dans ses pupilles.

Lisa n’était pas attachée. Cela n’était pas utile. Si elle ne s’était pas débattue au début, c’est parce qu’elle savait la résistance vaine. Et si maintenant elle s’agitait et cherchait de son autre main à repousser ses agresseurs, c’est que ces valets avaient décidé d’aller plus loin dans leur humiliation qu’elle ne l’avait, comme moi, soupçonné. Dario lui attrapa sa dernière main libre, et bloqua son poignet sous son genou.

  • La salope, cria Sébastien alors que Lisa venait probablement de lui mordre son sexe.

L’obligeant à lui lâcher les paupières et à retire sa verge, il ne put s’empêcher de lui balancer une gifle qui n’avait rien du caractère BDSM, ni dans la force, ni dans l’intention, ni surtout dans le sentiment de fureur qui l’agitait. Il se releva et partit chercher un instrument, un écarteur de bouche qu’il trouva sans peine sur les murs de cette salle de torture.

  • Ne vont-ils pas trop loin ? demandai-je à Ladyscar.

  • C’est toi qui l’as voulu, non ?

  • Je ne me l’imaginai pas comme ça. Je penserai que, comme vous, ils lui donneraient du plaisir à n’en plus supporter. Mais là ! Ils la maltraitent. Pourquoi ?

  • Maîtresse Diane avait donné à Lisa le pouvoir de les commander. Ces valets ont été humiliés par elle depuis de nombreuses années pour certains. C’est la première fois que l’axe de pouvoir change de sens. C’est la rancœur des torturés vis-à-vis de leur bourreau.

  • Si je devais un jour avoir le pouvoir de vous dominer, je ne serais pas aussi cruel, lui répondis-je, démentant sa première réponse.

  • Parce que tu es naturellement soumis. Aussi méchante soyons nous avec toi, tu l’as accepté. Les valets ne sont pas des hommes soumis. Ils travaillent pour Maîtresse Diane, qui les payent très confortablement. Ils considèrent ce libertinage qu’ils peuvent avoir avec les quelques soumis qu’on leur présente comme une sorte de bonus. Lisa prend son rôle de gouvernante plus que de bonne avec eux. Elle aime les dominer, les punir, leur donner des ordres, les humilier. Tu leur as donné une opportunité, qui ne se représentera probablement plus, de se venger, de se vider de leur ressenti.

Stéphane revenait avec son écarteur et l’enfonça sans ménagement dans la bouche de Lisa et l’ouvrit au maximum, bien plus que le diamètre de sa queue. Je craignais même qu’il ne lui arrachât la mâchoire, mais je surpris la main de Maîtresse Diane sur son épaule le stopper. Juste une caresse de cette dernière et un calme l’envahit, mais un calme sadique, un calme réfléchi, un calme plus dangereux qu’une fureur malavisée. Il enfourna son sexe à nouveau dans la bouche, maintenant protégé et rouvrit les paupières de la malheureuse.

Dario ne s’était pas arrêté durant tout ce temps de récurer le clitoris de Lisa. Il avait tellement rougi que je pouvais de ma position éloignée le constater. Je redoutais même qu’il en était arrivé à le lui faire saigner tant la couleur me surprenait. Il se penchait maintenant sur ses seins afin d’en mordre l’un des tétons. Le mexicain poussait sa verge dans de grands mouvements larges d’amplitude, facilités maintenant par la moiteur de la chatte de cette dernière. A chaque coup, le corps de Lisa semblait se disloquer au milieu de ces cinq hommes, cherchant à chaque instant de nouvelles façons de l’humilier, de la blesser, de la faire souffrir. Découverte aux commentaires acerbes des maîtresses qui n’avaient qu’une envie : se jeter à leur tour sur cette anatomie anéantie.

Quand le regard de Lisa croisa le mien, ou ce que je pouvais en distinguer avec le blanc des yeux retournés qu’elle affichait sous des paupières distendues, je n’y lisais que de la haine. C’était une bonne chose. La haine aide à mieux résister. Si je n’étais pas moi-même attaché, et malgré que les valets s’avérassent à mon goût trop indélicats, je la taquinerai un peu plus.

  • On va te vider, me dit soudain Ladyscar en enlevant brutalement le plug.
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